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Certification Qualiopi

En ce mois de décembre 2021, BERRY BURO a obtenu la certification QUALIOPI après passé avec succès l’audit préalable et réalisé par Bureau Veritas.

Ce nouveau référentiel atteste de la qualité des formations dispensées par BERRY BURO et nous permet d’être reconnu comme un acteur référent de la formation.

Partenariat BERRY BURO- MICROSOFT Silver

Depuis plusieurs années, nous sommes convaincus que Microsoft 365 est la solution idéale pour les TPE/PME et offre une réponse globale aux différents enjeux auxquels elles font face : messagerie, stockage, sécurité, portabilité, collaboration, …

En ce mois de Mai 2021, BERRY BURO consolide son partenariat avec Microsoft en devenant partenaire Silver. Ce nouveau statut nous permet d’approfondir nos liens avec Microsoft, aussi bien avec les services commerciaux qu’avec les services supports, et de bénéficier de nouvelles compétences.

Ce nouveau partenariat est également un gage de qualité apporté à nos clients quant aux aptitudes et aux compétences de nos équipes.

Il démontre enfin la volonté de BERRY BURO d’aller plus loin encore dans l’accompagnement, le conseil et le service fournis à ses clients.

Visioconférence et confort : Comment éviter la fatigue

Une récente étude réalisée pour Cisco Webex s’est penchée sur le phénomène de la fatigue liée à la visioconférence, une réalité exacerbée par de nombreux facteurs à la fois organisationnels et techniques.

 

Selon l’enquête réalisée par Dimensional Research auprès de 1400 employés et publiée par Cisco Webex en mai 2022, 95% des professionnels interrogés ont expérimenté de la fatigue en lien avec les réunions en visioconférence, accompagnée dans 81% des cas d’altérations de l’état physique : douleurs dans le cou et les épaules (37%), maux de tête (31%), fatigue visuelle (31%) ou encore tensions musculaires (22%).

Ce phénomène a pris de l’ampleur avec le télétravail. En effet, l’étude montre que plus de la moitié des cadres interrogés consacrent davantage de temps aux réunions en ligne lorsqu’ils travaillent de chez eux. Un tiers passe au moins 4 heures par jour en visioconférence et 93% au moins deux heures. Les répondants pointent plusieurs causes qui accroissent la fatigue associée à ces échanges. En premier lieu figure l’enchaînement des réunions à distance. Viennent ensuite les différents problèmes techniques à l’origine d’inconfort et de frustration : les soucis de réseau (42%), les nuisances sonores liées au bruit de fond (37%), la mauvaise qualité du son (34%) ou de l’image (32%) et les ralentissements (26%) et crashes (21%).

Éviter la surcharge et augmenter le confort en ligne

Interrogés sur les leviers pour atténuer ce phénomène de fatigue, les employés citent en premier lieu la réduction du nombre de réunions consécutives (42%). Ils évoquent aussi la possibilité de se lever et de bouger tout en participant aux réunions (37%), le fait de bénéficier d’un intervalle d’au moins 5 minutes entre deux réunions (33%) ou encore l’obligation imposée par l’entreprise de préserver des jours sans visioconférence (27%). Au niveau technologique, certaines fonctionnalités sont également citées comme des moyens d’apporter plus de confort aux réunions en ligne : la suppression des bruits de fond indésirables favorise la concentration (24%), tandis que les outils permettant de participer de façon non verbale, via des emojis ou des sondages, offrent des alternatives aux salariés quand leur environnement est bruyant (24%). Les arrière-plans virtuels évitent d’avoir à se soucier de ce qui est visible en arrière-plan (22%) et de meilleurs emplacements pour les caméras et microphones améliorent la qualité du son et des images (19%).

Enfin, un fait intéressera plus particulièrement les DSI travaillant sur la digital workplace et les responsables RH : quatre répondants sur dix envisagent de quitter leur entreprise dans les deux ans qui viennent si celle-ci ne leur fournit pas des outils appropriés pour le travail hybride, alors même que la moitié seulement des répondants estiment disposer d’outils adaptés pour faire leur travail (et 46% seulement pour la collaboration).

 

 
Article rédigé par Aurélie Chandeze
Rédactrice en chef adjointe de CIO
Article publié sur le site : lemondeinformatique.fr

Le coût des violations de données en augmentation en France et dans le monde

Selon le rapport annuel d’IBM sur le coût des violations de données, une compromission coûte en moyenne 3,95 millions d’euros aux entreprises en France. Les conclusions de l’édition 2022.

 

Les violations de données coûtent de plus en plus cher aux entreprises. C’est ce qui ressort de l’édition 2022 du rapport d’IBM sur le coût des violations de données. En France, le coût moyen d’une attaque s’élève à 3,95 millions d’euros entre mars 2021 et mars 2022, contre 3,84 millions d’euros un an plus tôt. Au plan mondial, il atteint le niveau record de 4,35 millions de dollars pour les 550 entreprises interrogées par Ponemon Institute (+13% en deux ans). En France, les chiffres se basent sur 33 répondants.

Il faut en France en moyenne 78 jours pour identifier une violation, et 229 jours pour la contenir. Les secteurs les plus touchés sont, dans l’ordre, les services financiers, l’industrie pharmaceutique et la technologie. Les attaques les plus coûteuses dans l’Hexagone sont celles qui se produisent par compromission des emails professionnels.

Selon le rapport d’IBM, sur le plan mondial, le secteur de la santé est celui qui a connu les attaques les plus coûteuses, avec un coût moyen record de 10,1 millions de dollars sur la période.
 

cloud hybride, ia, zero trust : le tiercé gagnant

Plusieurs facteurs augmentent le coût des violations de données pour les entreprises : par exemple, pour les organisations ayant des infrastructures critiques, ne pas adopter de stratégie « zero trust » (qui consiste à systématiser la sécurisation de l’accès aux données en fonction de leur degré de sensibilité, que l’accès à ces données vienne de l’extérieur ou de l’intérieur) entraîne une augmentation du coût moyen de 1,17 million de dollars par rapport à celles qui ont mis en place cette stratégie. Or, seules 21% des organisations interrogées ayant des infrastructures critiques l’ont mise en œuvre. 

L’automatisation de la sécurité par le biais de l’intelligence artificielle est également un moyen de faire baisser la note, de 3,05 millions de dollars de moins par rapport aux entreprises qui n’ont pas déployé cette technologie. Ou encore l’adoption d’un environnement de cloud hybride, versus un modèle de cloud uniquement public (1,22 million de dollars d’écart) ou privé (0,44 million d’écart), dans la mesure où il permet une détection plus rapide des violations. Le rapport souligne que 45% des violations étudiées se sont produites dans le cloud.

payer la rançon, pas toujours rentable

Autre enseignement du rapport : dans le cas où l’attaque est effectuée par rançongiciel, le fait de payer la rançon diminue le coût de la violation de données de 610 000 dollars en moyenne, par rapport aux entreprises qui décident de ne pas la payer, hors coût de la rançon elle-même. Par conséquent, en tenant du coût moyen d’une rançon, estimé par Sophos à 812 000 dollars en 2021, le choix de payer la rançon n’est pas forcément avantageux pour l’entreprise.

 

Article rédigé par Raphaële Karayan
Article publié sur le site : https://www.usine-digitale.fr

En 2021, 19% des PME françaises ont été confrontées à une cyberattaque

19% des PME françaises déclarent avoir subi au moins un incident cyber sur l’année 2021, d’après un baromètre publié par la Commission européenne. Elles sont 33% à n’avoir prévenu personne – ni forces de police ni prestataire de service – à la suite de cette attaque. La preuve que beaucoup de chemin reste à parcourir.

 

La Commission européenne a mené une enquête sur l’impact de la cybercriminalité sur les petites et moyennes entreprises (PME). Les résultats, qui doivent donner une vue d’ensemble aux autorités policières, viennent d’être publiés ce 12 mai. 501 entretiens ont été menés auprès d’entreprises françaises entre le 26 novembre 2021 et le 17 décembre 2021.
 

Le piratage de comptes bancaires, première menace

Les PME sont les plus susceptibles d’être « très préoccupées » par le piratage ou tentatives de piratage de comptes bancaires en ligne (29%), le phishing, la prise de contrôle de compte ou l’usurpation d’identité (28%), au même niveau que les virus, logiciels espions ou logiciels malveillants (hors ransomware) puis vient l’accès non autorisé à des fichiers ou à des réseaux (23%). Globalement, la moyenne française se situe en dessous de la moyenne européenne. A titre d’exemple, les PME européennes ont répondu à 22% être inquiètes des ransomwares, contre 16% pour les sociétés françaises. 

Dans les faits, les PME françaises sont 19% à déclarer avoir été confrontées à au moins un incident cyber (ransomware, phishing, accès non autorisé à des fichiers ou à des réseaux, virus, attaques par déni de service…) durant l’année 2021. Encore une fois, elles se situent en-dessous de la moyenne européenne qui de 28%. Ce qui ne signifie pas automatiquement qu’elles en ont subi moins. Elle les détectent peut être moins bien. 

A propos des impacts de ce cyber incident, les PME françaises ont répondu à 33% avoir subi un surcroît de travail nécessaire pour répondre à l’attaque, à 20% l’impossibilité d’utiliser les ressources ou les services et à 20% également l’impossibilité pour les employés d’effectuer leurs tâches quotidiennes.

33% n’ont prévu personne a la suite d’une attaque

Beaucoup plus inquiétant, les entreprises interrogées ont répondu à 33% qu’elles n’avaient prévenu personne à la suite de la détection de l’incident de sécurité (contre 44% pour la moyenne européenne). La preuve qu’il y a encore énormément de chemin à parcourir dans le signalement des attaques. La police et les vendeurs ou prestataires de services interviennent à la deuxième place, avant le fournisseur d’accès internet (FAI).

La majorité des répondants estiment que leurs employés sont assez bien informés aux risques liés à la cybercriminalité. Pourtant, ils sont 88% à n’avoir proposé aucune formation ou sensibilisation aux risques de la cybercriminalité (contre 79% pour la moyenne européenne) durant l’année 2021. Etant des cibles faciles, ce manque de considération doit alarmer dans un contexte d’explosion et de sophistication des attaques informatiques

 

Article rédigé par Alice Vitard
Article publié sur le site : https://www.usine-digitale.fr

45% des PME françaises loin de la e-facturation interentreprises

Une enquête réalisée par l’IFOP pour l’éditeur Quadient montre que 45% des PME françaises n’ont pas mis en place la facturation électronique interentreprises, alors que celle-ci va devenir une obligation dans les cinq ans qui viennent.

 

La loi de finances pour 2020 a prévu l’obligation pour les entreprises françaises assujetties à la TVA d’émettre leurs factures interentreprises sous forme électronique, avec un calendrier d’entrée en application précisé et actualisé par ordonnance le 15 septembre 2021. Si l’obligation entre en vigueur dès le 1er juillet 2024, pour les grandes entreprises, les établissements de taille intermédiaire ont jusqu’au 1er janvier 2025 et les PME jusqu’au 1er janvier 2026. Une étude réalisée par l’IFOP pour l’éditeur Quadient laisse toutefois présager des difficultés chez ces dernières, dont beaucoup sont loin d’être prêtes.

Selon cette étude menée auprès de 502 dirigeants français, si 70% des grandes entreprises sont équipés d’une solution de facturation électronique, c’est le cas de 55% seulement des entreprises entre 250 et 499 salariés et de 53% des entreprises entre 20 et 249 salariés. Par ailleurs, alors que 71% des grandes entreprises estiment qu’il leur sera facile de mettre en oeuvre l’obligation, seules 53% des PME partagent cette perception. Un tiers des répondants compte s’appuyer sur ses ressources internes pour mener cette transformation à bien, 41% prévoyant de faire appel à des prestataires spécialisés dans la dématérialisation et 32% à leurs experts-comptables, essentiellement les petites structures. Toutefois, l’ensemble des répondants s’accordent sur les bénéfices associés à la facturation électronique, 54% au niveau global soulignant la meilleure traçabilité et 47% des gains de productivité pour les équipes chargées de la facturation.

 

Article rédigé par Aurélie Chandeze
Rédactrice en chef adjointe de CIO
Article publié sur le site : lemondeinformatique.fr